27 août 2001, 0h00
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L’enthousiasme médiatique et financier qui s’était récemment porté sur le Business To Business attribuait toutes les vertus à ce secteur: s’adressant à un public d’entreprises bien plus familiarisé et bénéficiant d’un accès beaucoup plus généralisé à l’internet que le grand public, le B2B serait le segment le plus prometteur de la nouvelle économie. Ensuite, et surtout, le B2B se voyait quasiment crédité d’une mission d’intérêt général: il devait permettre de se rapprocher du modèle théorique de...
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