14 juillet 2004, 0h00
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Ce que 40% des travailleurs font au Japon, un bon quart de la population des principaux pays industriels le fait aussi: exercer une activité économique dans la zone grise de la faute facile à comprendre, en demeurant dans un domaine qui n’est pas clairement contrôlé par l’Etat. Les estimations concernant les marchés gris et les marchés noirs et leur contribution à la création de valeur des pays sont divergentes pour des raisons compréhensibles, étant donné qu’il s’agit d’activités occultes.
Ave...
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