03 décembre 2007, 0h00
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«Ce serait un naufrage économique mondial majeur si les transactions du marché du carbone venaient à s’interrompre à la fin de la 1ère période d’engagement de Kyoto le 31 décembre 2012». Ce commentaire – de Pierre Radanne, ancien patron de l’Ademe (l’Agence française pour la maîtrise de l’énergie) – expliquerait à lui seul pourquoi les protagonistes de la Conférence internationale sur le climat, qui s’ouvre aujourd’hui à Bali pour dix jours, ne saboteront pas un «Kyoto II». A commencer par les E...
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