30 mai 2005, 0h00
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Lors du dernier débat télévisé sur le référendum européen en France, François Bayrou, le leader centriste, a sorti un argument étonnant: «La Bourse monte avec le non.» Mais il n’a pas expliqué où il avait déniché cette corrélation. Peut-être pensait-il à l’euro. Certains financiers ont exprimé l’idée qu’un affaiblissement de l’euro en cas de non rendrait les produits européens plus compétitifs. Mais c’est oublier que chaque baisse de la monnaie unique serait aussi synonyme d’augmentation de la f...
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