08 décembre 2009, 0h00
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Le sommet de Copenhague risque de décevoir, comme le G20 l’a fait dans la régulation bancaire. Car les grands principes débouchent rarement sur des applications concrètes. Inertie du dialogue multilatéral oblige, chaque pays défend en priorité ses intérêts nationaux. Même si le réchauffement climatique nécessite des mesures d’urgence. Sur le terrain, le constat est pourtant moins pessimiste. La prise de conscience des opinions publiques impacte l’économie: le changement des valeurs se répercute ...
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