10 novembre 2011, 0h00
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Anton Schaad surveille l'Afrique depuis des années, en attente de réelles opportunités d'investissement. Car son ambition est assez différente de celles des autres gestionnaires de fonds africains. Ce n'est pas la croissance de sociétés qui exploitent le continent qui l'intéresse mais bel et bien son développement intrinsèque. Il perçoit dans cette région qui regroupe 54 états et plus de 1000 langues un potentiel semblable à celui de la Chine ou de l'Inde d'il y a 20 ou 30 ans. En outre, c'est l...
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