03 février 2009, 0h00
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Laszlo Kovacs figure en tête de liste de ces figures acharnées à vouloir faire mourir le secret bancaire. Il promettait déjà de le tuer en 2008, avait dit le commissaire européen chargé de la fiscalité et des douanes, dans une interview parue en avril dernier. Si c’est raté pour le moment, lundi, le socialiste hongrois a cependant enregistré une victoire d’étape. Soucieux d’installer l’échange d’informations entre membres de l’Union européenne (UE), la Commission a suivi ses souhaits.
Si l’étau...
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