02 avril 2008, 0h00
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«Enfin!» semblait dire hier le marché. En créditant le titre UBS d’une progression faramineuse de plus de 12%, le départ de Marcel Ospel sonnait davantage hier comme une libération que comme une condamnation. Certes la décision était attendue et réclamée depuis des mois, mais le président de la première banque suisse avait déclaré vouloir faire le ménage avant de se retirer, une décision soutenue par le management in corpore. Ce nettoyage aurait dû lui prendre une année au moins, selon ses estim...
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