08 février 2001, 0h00
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La position de l’Association suisse des banquiers (ASB) sur l’initiative «Oui à l’Europe», en votation le 4 mars prochain, n’est pas une surprise. Elle est logique mais mérite quelques explications complémentaires aux propos tenus officiellement. Premièrement, il est rare, pour ne pas dire extrêmement rare, qu’une grande association économique soit en désaccord avec le Conseil fédéral lorsque la politique étrangère de la Suisse est en jeu. Les banquiers savent que les dossiers sur le secret banc...
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