08 février 2001, 0h00
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Au cours de la présentation de ses grandes orientations semestrielles et de la situation générale des banques, l’Association suisse des banques apporte de l’eau au moulin au débat sur l’Initiative «Oui à l’Europe». Et leur contribution prend la forme d’un non sans appel. D’une part, déclare le président Georg F. Krayer parce que ce serait prématuré alors que le «lent» processus de ratification des accords bilatéraux n’est pas arrivé à terme. D’autres part, parce que, une adhésion à marche forcée...
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