19 janvier 2004, 0h00
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Comment les quelques 30.000 gènes «utiles», révélés par le décryptage du génome, peuvent-ils engendrer autant de complexité biologique qu’un être humain? Eh bien, en partie à cause d’infimes variations dans la composition des gènes. Actuellement identifiées, regroupées et classées, ces différences – le plus souvent, les «single nucleotide polymorphisms» (lire l’encadré, «Dans le labyrinthe des “snips”») – permettent aux chercheurs d’élaborer des marqueurs génétiques.
A partir de là, une multitu...
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