21 janvier 2005, 0h00
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Une semaine après le lancement sur les marchés internationaux de la restructuration de sa dette impayée, l’Argentine martèle que son offre est à prendre ou à laisser, en dépit de la crise ouverte avec l’Italie où des centaines de milliers d’épargnants la rejettent avec colère. Le pays latino-américain, qui vient d’enregistrer deux années de croissance de l’ordre de 8%, propose à ses créanciers de ne leur rembourser qu’un tiers de leur dû. Jamais un pays n’avait demandé un tel sacrifice à des por...
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