21 avril 2010, 0h00
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Nous sommes fragiles. Nos économies ressemblent à des asthmatiques dans un champ de colza en saison de pollen. Après la Grèce sauvée parce qu’il n’y a plus le choix, un nouveau péril a vu le jour, le volcan Eyiafjallajökull (pensez à vos embouteillages du matin et prononcez «hé ya Fiat là au cul». Il aura donc suffit que le cratère de ce noble vieillard entre en éruption pour menacer de faillite la terre entière, à commencer par les compagnies d’aviation.
Je ne sais pas si vous avez remarqué, ...
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