10 mars 2011, 0h00
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«Décevant»; pourrait relever de l'euphémisme. Hier, à Zurich, au moment de présenter les résultats annuels de Valiant, le CEO Michael Hobmeier a fait presque amende honorable en reconnaissant qu'il n'était pas satisfait de l'exercice. Alors que les banques cantonales et d'autres opérateurs ayant profité de l'effet refuge pendant la crise bancaire a stabilisé leurs chiffres l'an dernier, ceux de Valiant ont de quoi laisser les investisseurs quelque peu songeurs. 2010 avait été marqué par toute un...
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