17 janvier 2012, 0h00
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Nous avions défini et résumé l'année 2010 comme «l'année du no exit»;. Les gouvernements et banques centrales, malgré leurs espoirs ou illusions, n'ont pu revenir en arrière sur les politiques non-conventionnelles mises en place en 2008.Nous n'avons pas défini 2011, mais, avec le recul, nous dirions que c'est «L'année des Govies»;. La crise est entrée dans la phase classique, historique, qui suit toute crise financière, à savoir les doutes sur la solvabilité des gouvernements.Nous ne faisons que...
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