26 janvier 2011, 0h00
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La votation du 13 février prochain sur l'amnistie fiscale à Genève est intéressante pour les contribuables comme pour l'Etat. L'éternel débat entre la droite et la gauche semble faire peut d'émules face l'argumentation de l'avocat fiscaliste Philippe Kennel, au sein de l'étude internationale Python Peter. Pour rappel, cette amnistie prévoit qu'en cas de dénonciation spontanée non punissable, le montant dû au titre du rappel d'impôt, intérêts moratoires inclus, soit réduit de 70% si la dénonciat...
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