13 novembre 2009, 0h00
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Vice-chancelier et chef de la diplomatie allemande, Guido Westerwelle entend résolument tourner le dos au passé: les grossièretés proférées contre la Suisse par l’ancien ministre des Finances Steinbrück peuvent donc être oubliées. Lors de sa première visite à Berne, le numéro deux du cabinet Merkel a clairement formulé à ses interlocuteurs suisses son désir de parvenir à régler les questions en suspens. Il s’est dit «confiant» dans une issue rapide pour aboutir à une convention de double-imposi...
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