25 septembre 2003, 0h00
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Nous vivons dans une société dans laquelle la valeur d’un bien se détermine par son prix. Cela vaut aussi pour les soins infirmiers. Pour expliquer l’augmentation des coûts de la santé, on accuse volontiers leur coût. Personne n’est alors surpris d’entendre les caisses maladie et les politiciens viser une diminution des contributions aux soins. C’est d’autant plus facile que le personnel soignant est faiblement représenté au Parlement. Nous sommes tout de même surpris de voir que les décisions s...
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