11 mars 2013, 23h15
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Que l’impôt libératoire connu sous le nom de Rubik n’ait pas les faveurs de toute la place financière n’est pas un secret. Pour le Groupement suisse des conseils en gestion indépendants, relayé par le Lobby des citoyens et le Club des gestionnaires, il y a même mieux. II a réuni une vingtaine de parlementaires de tous les partis, hier soir à Berne, pour esquisser une solution qu’il estime tenir compte des intérêts à la fois des Etats voisins surendettés et des clients en Suisse, dont la sphère p...
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