14 septembre 2010, 0h00
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Il n'y aura pas eu un communiqué en bonne et due forme à la fin de la réunion du Comité de Bâle (lire page 4). Cela peut surprendre. Et pourtant, à la réflexion, éviter les frictions européennes et les rancœurs diverses imposait cette solution. Après les difficultés sérieuses rencontrées par les Etats, Grèce, Espagne, Irlande, Portugal, et les émotions sont loin d'être terminées, on passe aux dérives bancaires. Là c'est l'Allemagne qui est le maillon faible des banques européennes. Deux grandes ...
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