18 mars 2010, 0h00
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Un pas en avant, deux pas en arrière. La chancelière allemande, Angela Merkel a déclaré hier devant le Bundestag qu’une «manifestation de solidarité rapide» des pays de la zone euro à l’égard de la Grèce, au bord de la faillite, «ne peut pas être la bonne réponse». Lundi soir, le président de l’eurogroupe, le Luxembourgeois Jean-Claude Juncker, avait pourtant affirmé que «les modalités techniques qui nous permettrons de prendre une action coordonnée» avaient été «clarifiées» et qu’un plan d’aide...
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