05 novembre 2009, 0h00
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Le revirement de l’américain General Motors, qui a finalement décidé de garder le constructeur Opel dans son giron, a surpris les capitales européennes et provoqué la colère en Allemagne. «Le comportement de General Motors est absolument inacceptable», en particulier «vis-à-vis des salariés à huit semaines de Noël», a jugé le ministre fédéral de l’Economie Rainer Brüderle. Ce dernier veut désormais récupérer un crédit de 1,5 milliard d’euros accordé à GM pour maintenir Opel à flot.
Berlin consi...
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