30 novembre 2006, 0h00
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L’«affaire Swissfirst» n’a pas mis en évidence de lacune nécessitant de renforcer la législation du deuxième pilier, estime Jacques-André Schneider. L’avocat et chargé de cours à l’Université de Lausanne est d’avis qu’elle rappelle surtout la nécessité pour les caisses de pension de définir et d’appliquer des règles de bonne conduite. Or, du travail reste à faire, a-t-il relevé hier à Montreux à l’occasion du «Rendez-vous institutionnels» organisé par Lombard Odier Darrier Hentsch (LODH). Ains...
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