05 septembre 2000, 0h00
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Les conclusions de la Commission fédérale des banques (CFB) sur «l’affaire Abacha» sont sévères et à raison. Manifestement, certains établissements n’ont pas appliqué avec toute la diligence souhaitée les directives tant de la profession que de la CFB. Il faut en prendre acte. En ce sens, le rapport de la CFB est une bonne chose. Il témoigne que l’autorité de surveillance a fait son travail et cela dans un délai raisonnable. Par ailleurs, cela montre aussi que l’arsenal juridique fonctionne même...
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