27 février 2007, 0h00
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«L’Iran», disait un confrère américain, «c’est l’arthrite. On s’y fait toujours, mais de temps en temps cela s’aggrave.» Une mauvaise crise est en route maintenant. Dans le dernier numéro de l’hebdomadaire New Yorker, Sidney Hersch, spécialiste de l’enquête militaire, dit que c’est une nouvelle politique moyen-orientale des Etats-Unis qui les rapproche toujours plus d’une confrontation ouverte avec Téhéran: leur mésaventure irakienne a gonflé les muscles de la majorité chiite opprimée de ce pays...
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