28 février 2001, 0h00
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La mauvaise foi, le trucage, la dissimulation, le mépris de la «vox populi», la haine de tout ce qui ne va pas dans le sens de l’Histoire (c’est-à-dire de l’inféodation de la Suisse à l’Union européenne) auront profondément marqué le débat sur l’initiative «Oui à l’Europe».
Des magistrats et des journalistes en T-shirt bleu ont cherché à discréditer les opposants en les décrivant comme des euro-escargots, des paléo-suisses, des nationaux-conservateurs, des «affidés» et des «sbires» de M. Blocher...
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