21 décembre 2011, 0h00
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Augmentation des ratios de fonds propres, compression des bilans, réduction de la consommation de liquidités, les grandes banques du métier réduisent leur exposition au financement du commerce international sur lequel elles ont traditionnellement régné. D'autres établissements récupéreront leurs opérations, sans conséquences majeures sur les négociants, sauf d'assainir un marché où l'offre de financement dépasse largement les besoins. Cem Osmanoglu, directeur du Trade Finance à la Banque de Comm...
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