18 avril 2008, 0h00
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Une abrogation de la Lex Koller ne changerait pas grand chose aux problèmes existants, selon une étude publiée hier. Ceux-ci sont dûs à la demande indigène, au manque d’offre dans les villes et aux allègements fiscaux pour les résidences secondaires. La levée de l’interdiction faite aux personnes domiciliées à l’étranger d’acheter un bien immobilier en Suisse, un projet refusé en l’état par le National, aurait des conséquences différentes selon la région et le segment considérés. Mais elle n’ent...
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