23 février 2004, 0h00
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La défaite des réformateurs iraniens aux législatives sonne le glas de la libéralisation sociale, mais la libéralisation d’une économie ultra-étatisée et ultra-protégée pourrait se poursuivre sans eux, estiment les analystes.
La victoire annoncée des conservateurs a été confirmée par les résultats provisoires de ces élections dénoncées par les réformateurs comme truquées. Avec elles devraient prendre fin les tentatives pour soulager la pression sur les femmes, les journalistes, les étudiants ...
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