02 mars 2001, 0h00
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Mercedes, BMW, Audi: les noms des marques allemandes de luxe revenaient de manière quasiobsessionnelle dans le discours de Louis Schweizer, président de Renault, en expliquant lundi le concept et le positionnement du «Vel Satis» qui va marquer le grand retour de la marque au losange sur le difficile segment du haut de gamme.
Les références germaniques sont évidentes: image, puissance, qualité, fiabilité. Bref, tout ce que l’on a longtemps reproché aux grandes françaises. Voici quarante ans, le c...
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