16 décembre 2004, 0h00
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Les incertitudes sur le destin commun entre Turcs et Européens ont freiné l’impressionnante croissance turque au troisième trimestre. C’est du moins ce qu’avancent certains observateurs de cette économie en plein redémarrage pour expliquer pourquoi la croissance, qui dépassait les 13% au premier semestre, n’a affiché que 4,5% entre juillet et septembre. Qu’à cela ne tienne. «Ces chiffres ne sont franchement pas si décevants», relève dans un commentaire Goldman Sachs, qui y voit un rééquilibrage,...
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