13 août 2009, 0h00
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Il arrive parfois que les conditions d’une offre publique d’achat (OPA) fassent l’objet d’oppositions. Il est en revanche plus rare qu’une telle opération suscite autant de remous parmi les instances juridiques suisses. Dans ce qui est devenu l’affaire Aquamit-Quadrant, les faits sont connus et les données sont claires. Limpides même. La transparence est telle qu’elle plaide d’ailleurs en faveur du repreneur controversé. «Cette opération ressemble davantage à un management buy-out qu’à une OPA»,...
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