22 juin 2001, 0h00
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L’absence de baisse des taux de la BCE et une statistique hebdomadaire sur l’emploi aux Etats-Unis tirent l’euro une nouvelle fois à la baisse. Mais en d’autres temps le mouvement aurait été plus violent. La hausse du dollar paraît freinée. Le billet vert s’arc-boute sur les gains des années glorieuses, sur une hausse construite sur les gains de productivité, sur un potentiel de croissance à l’avantage de l’Amérique, ainsi que sur le messager de Wall Street, Robert E. Rubin, le secrétaire au Tré...
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