21 mars 2007, 0h00
Partager
Lois restrictives sur les flux de capitaux, insurrection dans le sud et contrôle plus strict du gouvernement. Depuis le coup d’Etat de septembre, les observateurs internationaux se demandent comment la Thaïlande va revenir au calme. La démission brutale, le 28 février, du ministre des Finances et ancien gouverneur de la Banque de Thaïlande, Pridiyathorn Devakula, a fait ressortir au grand jour des dissensions au sein du gouvernement. A l’origine des mesures protectionnistes controversées, il éta...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT