31 juillet 2008, 0h00
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Le porte-parole du Département fédéral des affaires étrangères (DFAE), Jean-Philippe Jeannerat, ne parle pas encore de sortie de crise. Car il reste beaucoup de questions à régler. Mais, après la libération partielle, mardi, des deux ressortissants suisses, «on a le sentiment que le travail mené de part et d’autre commence à produire des résultats», a-t-il indiqué hier.
Les deux employés d’entreprises helvétiques, dont l’un d’ABB, se trouvent donc à l’ambassade de Suisse à Tripoli, où ils ont...
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