10 mars 2011, 0h00
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En janvier dernier, Patrick Pélata, directeur général délégué de Renault, révélait que le groupe avait mis à jour un système organisé de collecte d'informations économiques, technologiques et stratégiques pour servir des intérêts situés à l'étranger. En d'autres termes, trois cadres, dont un membre du comité de direction, auraient vendu à des Chinois des secrets sur la future voiture électrique développée par Renault. Comme on pouvait s'y attendre, les trois informateurs auraient été rétri...
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