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La supplique dangereuse de l'eurozone à la Chine

La contrepartie à la contribution chinoise au sauvetage de l'euro sera une ouverture des marchés commerciaux.

23 novembre 2011, 0h00
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Lors du dernier sommet de la dernière chance à Bruxelles il y a quelques semaines, les dirigeants européens ont convenu de créer hors bilan du Fonds européen de stabilité financière (FESF) un véhicule d'investissement à finalité spécifique (SPIV) pour sauver l'euro.Ce SPIV du FESF sera approvisionné par des capitaux de Chine, du Japon, du Brésil, de la Norvège et de tout autre pays ayant un intérêt à sauver l'euro. Telle était tout au moins l'idée.Après avoir négocié durant toute la nuit du 26 a...
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