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La Suisse veut plus de flexibilité dans la recherche européenne

Elle encourage la participation de partenaires privés dès la phase de lancement des futures plateformes technologiques.

29 mars 2005, 0h00
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Pour une enveloppe globale que Berne ne souhaite ne pas voir doubler à 60 milliards d’euros de 2007 à 2013, on peut bien formuler quelques réserves! La participation de la Suisse, présentement de 220 millions de francs par an, au 7e Programme de recherche de l’UE (PCRD) prendra donc fatalement l’ascenseur. «Elle n’est toutefois pas automatique, mais nécessite un renouvellement de l’accord qui est notamment tributaire de la volonté des instances politiques», prévient Charles Kleiber, secrétaire d...
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