20 mars 2001, 0h00
Partager
La Fondation ethos a raison de souligner l’importance du droit de vote des actionnaires et de critiquer tous ceux qui ne votent pas ou acceptent aveuglément toutes les propositions. Et Jacques-André Schneider, son président, emploie avec justesse le mot de féodal pour parler de la situation suisse, où un actionnaire doit posséder 10% du capital pour faire une proposition à l’assemblée générale. Aux Etats-Unis, la limite est à 2000 dollars et la SEC se charge d’appliquer la loi. Certes, avec des ...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT