07 octobre 2005, 0h00
Partager
La décision du peuple suisse d’accepter l’extension aux nouveaux membres de l’Union européenne de la libre circulation sur son territoire n’était pas acquise d’avance. Nombre de nos concitoyens convaincus de la nécessité de collaborer étroitement avec l’UE ont tremblé jusqu’à la diffusion des premiers résultats. Ils étaient espérés mais, comme nous le disions, loin d’être garantis. Ainsi leur ampleur a surpris, réjouissant les uns et bien évidemment décevant le autres. Mais la Suisse est-elle de...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT