La Suisse adapte l’information de crise à l’après-Guerre froide

«Oui, dans un sens la disparition de la DIPRA marque vraiment la fin de la guerre froide». Roulet Lorétan, chef de la Division presse et radio (DIPRA), ne ménage pas son enthousiasme quand il parle du service qu’il dirige depuis 1996. Mais il est lucide: les bouleversements internationaux de ces 15 dernières années ont rendu les adaptations décidées mercredi par le Conseil fédéral inévitables. Le 9 novembre, un dernier rapport réunira les cadres de la DIPRA à Fribourg. A la fin de l’année, elle ...