08 décembre 2003, 0h00
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L’électricité est le sang de l’économie. Les black-out récents nous l’ont rappelé. Pour cette raison, au lendemain de la Deuxième guerre mondiale, plusieurs pays ont nationalisé l’industrie électrique. En Suisse, en revanche, d’importantes sociétés électriques sont restées en mains privées. Les prestations n’y ont pas été moins bonnes qu’en France ou en Italie où on a opté pour la nationalisation.
L’ouverture des marchés de l’électricité à la concurrence n’est pas synonyme de privatisation. Il ...
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