28 octobre 2005, 0h00
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Ben Bernanke aura besoin d’un peu de chance dans ses débuts à la Fed. On l’accuse déjà de manquer de pratique et d’être trop théorique. Du coup, sa conduite de la politique monétaire ressemblerait plus à celle d’un professeur de musique au collège qu’à celle d’un grand chef d’orchestre (Richard Yamarone, Argus Research). Certes, Ben Bernanke n’est pas un foudre de guerre en matière d’inflation, mais il a néanmoins suivi avec une belle systématique toutes les augmentations de taux mises aux voix ...
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