04 mars 2008, 0h00
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Une crise de succession a brusquement éclaté à la Banque du Japon (BoJ) qui, payant les pots cassés d’un interminable conflit de politique intérieure, pourrait se retrouver sans gouverneur dans deux semaines alors même que tout laissait présager une transition sans accroc.
La troisième banque centrale du monde fait les frais de la guerre des nerfs à laquelle se livrent le gouvernement conservateur nippon, affaibli et impopulaire, et l’opposition de centre-gauche qui tente par tous les moyens de...
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