03 octobre 2007, 0h00
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Trois points vont délimiter les négociations entreprises par l’émissaire des Nations Unies, Ibrahim Gambari, qui fait la navette entre les généraux au pouvoir en Birmanie et Aung Suu Kyi, leader de l’opposition maintenue en détention. Tout d’abord, en dépit de la conduite héroïque du clergé bouddhiste et du mouvement prodémocrate, le peuple birman, épuisé par près de 50 années de terreur et de pouvoir militaire, aura du mal à poursuivre ses protestations sans une division majeure des généraux ou...
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