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La solidité financière défie la faiblesse opérationnelle

Ubs. D’où le recul du titre après l’annonce d’un bénéfice net en hausse de 13% à 3,6 milliards de francs en 2014.

10 février 2015, 23h09
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Un dividende ordinaire doublé à 50 centimes (plus le dividende spécial) conforme à l’engagement de verser aux actionnaires la moitié du bénéfice. Du moins une fois durablement atteint le critère de dotation en capital (ratio CET1 de 13%) selon Bâle III. Voilà un indéniable jalon pour UBS. Dans la capacité du chef de file mondial de la gestion privée à tenir ses engagements. Pourtant les analyses des résultats du quatrième trimestre 2014 mettent en évidence un certain nombre de points faibles ou ...
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