31 mars 2000, 0h00
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Dans une sorte de méditation à voix haute qui la plaçait aux antipodes de la langue de bois, Brigitte Sauzay, invitée au Club de la presse, a livré hier aux journalistes présents ses analyses et réflexions sur l’Europe et les relations franco-allemandes. Elle a inscrit son propos dans une grande courbe qui partait des silences écrasants entre Willy Brandt et Georges Pompidou pour aboutir à la collaboration qui est en train de s’instaurer entre le parti socialiste français et le SPD allemand.
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