28 novembre 2001, 0h00
Partager
La Société genevoise d’instruments de physique (SIP) se trouve à nouveau sur la corde raide. L’entreprise de machines-outils a déposé une demande de sursis concordataire auprès de la justice genevoise, pour se protéger d’un de ses créanciers.
Ce créancier avait requis la faillite de la SIP, a indiqué mardi l’avocat de la société, Nicolas Jeandin, confirmant une information de la «Tribune de Genève» et du magazine «Bilan». Pour se donner de l’air, l’entreprise a alors déposé une demande de sursis...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT