25 août 2000, 0h00
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Dans ces allées plates et rectilignes, bordées de bouleaux, de sapins et de filets jaunes pour en interdire l’accès aux élans et aux rennes, tout n’est que calme, nature et propreté. Il flotte toutefois dans l’air frais de l’été l’odeur âcre de la pâte à bois, vestige d’une économie jadis florissante. Au détour d’un chemin se dévoilent discrètement quelques longues maisons de briques rouges sans étages. Conçues pour être reconverties en résidences, de gros numéros estampillent sur leur façade le...
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