06 mai 2008, 0h00
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La SGS semble pouvoir faire ses emplettes avec plus de facilité cette année. «Avec la concurrence des fonds de private equity, les prix sont devenus exorbitants», confiait Chris Kirk à «L’Agefi» en début d’année, expliquant par là pourquoi le groupe genevois n’avait pas atteint l’objectif de croissance par acquisitions qu’il s’était fixé pour 2007 (lire notre édition du 11 février). La situation ne devait pas durer, assurait le CEO du numéro un mondial de la certification et de l’inspection, ra...
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